Excusez-moi je veux juste faire réagir.
Il serait temps que les médecins qui sont la barrière pour nous protéger des dérives de l'industrie pharmaceutique commencent
à avoir une certaine indépendance d'esprit.
regardez ce reportage très sérieux de france 5 c'est un bon début.
[url=http://www.youtube.com/watch?v=i7U69ctPU0s]Les médicamenteurs - YouTube[/url]

Le lien entre certains suicides et le roaccutane est très probable. Il ne faut pas se fier qu'aux statistiques de suicide dans la population totale et aux statistiques de suicide sous roaccutane: il faut étudier l'histoire de chaque victime et les témoignages comptent aussi. Certaines personnes ont décrit les effets que cela a eu sur leur psychisme, si cela vous arrivez vous aimeriez que votre témoignage pèse j'imagine. Pouvez-vous imaginez la frustration de savoir que vous avez eu un effet psychologique anormal (les témoins qui ont connu la dépression et les effets adverses insistent: la sensation n'est pas la même qu'une dépression classique) et de voir que vous n'êtes pas pris au sérieux.
Regardez cette vidéo cela montre bien ce paradoxe:
[url=http://www.youtube.com/watch?v=G6s8JoM79d8&feature=results_main&playnext= 1&list=PLDFDA27126B3D9BB5]1991FDA and Prozac victims - YouTube[/url]


C'est une réaction adverse rare (mais suffisamment grave pour remettre en question ce traitement) donc, non j'insiste cette étude que vous citez n'est
pas du tout pertinente.

Il faut arrêter de sans cesse s'abriter derrière des statistiques (qui ont et gardent leur importance bien sur) et considérer les auditions de témoins (imaginez vous arrêter un criminel sans prendre en considération aucun témoignage, sous prétexte de science les témoignages sont beaucoup trop négligé pour ces problèmes d'effets adverses). Mon ami a eu des effets anormal au moment de la prise de ce médicament qui se sont estompés en s'arrêtant. Dans les affaires criminels ont condamne parfois qu'avec des recoupement de témoignages humains, si il fallait toujours avoir une preuve scientifique on passerait à côté de beaucoup d'affaires.

Ce sont des effets très durs à prouver et les labos le savent bien et jouent dessus. Mais ils sont très probables, rien que le fait de voir que l'isotrétinoine peut avoir un tel impact sur le cerveau des souris montre avec un très forte probabilité que ces plaintes ne sont pas le simple fait du hasard. Il faudra aussi commencer à retourner le problème: sous un tel faisceau de présomption, prouvez-nous que la cause de ces suicides n'est pas le roaccutane lorsque l'on voit qu'il n'y a pas d'autres effets perturbateurs dans la vie de certaines des victimes.