Bonjour,

J'ai fait un trichogramme à l’hôpital Saint-Louis il y a un mois qui a confirmé un diagnostic d'alopécie androgénétique (diffuse).
[AAG (prédominante vertex, miniaturisation inhomogène importante vertex et moyenne frontale, homogène faible occipitale) associée à un effluvium télogène (approx. 50 % de cheveux en phase telogène en zone vertex environ 40 % en zone frontale et occipitale)]

Je prend du finasteride depuis une vingtaine de jours, mais je suis surtout tourmenté par une hésitation concernant la question de commencer le traitement par minoxidil - je dois en effet subir une intervention neurochirurgicale entre mi-février et mi- mars prochain et j'avais d'abord décidé de ne le commencer qu'après l'opération - bon sens basique... - mais la tentation revient toujours plus lancinante par peur de "perdre du temps" (je me représente en effet le minoxidil comme permettant d'aider à arrêter plus rapidement la chute brutale et peut-être de retrouver un peu de la densité qui part avec l'effluvium déjà bien installé depuis plusieurs mois).

J'ai bien compris que le début de de l'application du minoxidil provoque un effluvium télogène et que donc, chez moi, cela aggraverait la chute pendant 1 ou 2 mois mais j'aimerais savoir quelles conséquences provoquerait une petite interruption de ce traitement après l'opération (parce que par ex., si l'on arrête au bout d'1 an, cela provoque une chute... mais qu'en est-il d'une interruption de quelques jours au bout d'1 mois ou 2 en plein milieu ou à la fin du "shedding" initial où les cheveux tombent déjà, cela peut-il compromettre le processus?

Phil